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Actualités des Relations Internationales / Langues

Retour d'expériences, témoignages et autres actualités des Relations Internationales.
Retrouverez sur cette page toutes les actualités en lien avec les Relations Internationales de l'IUT. De témoignages sous forme d'articles aux petites vidéos YouTube. Nos étudiants, actuellement en DUETI en ERASMUS, vous livrent leurs expériences, riches en rencontres, découvertes et enseignements.

TÉMOIGNAGE  de Marvin Meschke, étudiant en BUT GEA GEMA EN DUETI ERASMUS À Wildau en Allemagne

                                                                           

Pourquoi cette destination ?

Déjà parce que c’est une ville proche de Berlin (à 30 minutes), qui est remplie d’histoire. On a la possibilité de découvrir de nombreux musées, des vestiges historiques, des bars, des clubs, etc. A titre de comparaison, dites vous que Berlin représente en superficie environ 8 fois Paris. Vous avez donc de quoi faire. Et personnellement, je ne regrette vraiment pas mon choix. J’ai pu énormément bouger dans Berlin, et je n’avais clairement pas fait le tour en quelques jours, comme j’ai pu le faire dans d’autres villes en Europe comme à Budapest.

Même si l’Allemagne est un pays proche à la France, la culture est quand même bien différente. Les Allemands sont très disciplinés mais sympathiques. Personellement, je m’y sentais très bien, je n’ai jamais eu de problème. Si vous y allez, vous verrez à quel point c’est calme dans les salles d’embarquement à l’aéroport ou encore dans le métro.

Sinon, ce qui est très pratique, c’est que, où que vous habitiez (en ville à Berlin ou à Wildau dans les dortoirs), vous accéderez très facilement à l’université puisqu’une station de train donne justement à l’université. Il y a des directs qui vont à Berlin selon où vous voulez aller dans la ville, en 30 minutes seulement.

D’autres avantages sont que, si vous souhaitez voyager durant votre séjour, vous aurez la possibilité de visiter des pays qu’on ne fait pas habituellement. Evidemment, ça reste subjectif, mais je n’avais jamais visité les pays d’Europe de l’Est comme la Pologne, la Hongrie et la République Tchèque. 

Comment se sont passés l’arrivée, l’accueil, les cours, l’université... ? 

Concernant le logement, pour ma part, j’avais opté pour un Airbnb, mais ce n’est vraiment pas l’option que je recommande car c’est très cher. Je recommanderais plutôt les logements étudiants.

A mon arrivée, j’ai été très bien accueilli par le personnel de l’université, les autres élèves en échange qui veulent eux aussi rencontrer du monde, etc.

Des évènements sont organisés au cours de l’année comme une visite organisée d’un ou plusieurs musées dans la ville de Berlin, ou encore d’échanges culturels autour des différentes nationalités, et plein d’autres. En parallèle de cela, très vite les étudiants étrangers veulent se regrouper, notamment avec des groupes WhatsApp ou chaque semaine des sorties sont proposées (pique-nique, visites, diverses sorties, soirées bar, boîte de nuit…).  

A propos des cours, nous avions programmé notre emploi du temps à l’avance, c’est-à-dire avant notre arrivée en Allemagne. Nous les avions reprogrammés en fonction des préférences et des recommandations dès notre deuxième semaine en Allemagne. Et après cela, les cours ont commencé. Honnêtement, les professeurs étaient tous très accueillants, sympathiques, etc. Ce n’est pas forcément très compliqué en soit, mais c’est l’anglais qui peut être difficile au départ. Il faut quelques temps pour s’habituer, et après on est dans le rythme. 

Etant étudiant en 3ème année en gestion, j’avais choisi des cours de première et deuxième année en Allemagne. Je me suis retrouvé dans des programmes en anglais, dans lesquels il y a aussi bien des étudiants allemands que des ERASMUS. 

Pour réussir, il faut être globalement bien assidus même si cela peut arriver qu’on rate quelques cours que ce soit pour maladie, contraintes personnelles ou autres raisons. Dans cette université, la majorité des professeurs mettent les ressources à disposition sur Moodle, donc si vraiment il faut travailler à distance pour un ou deux cours loupés, ça reste possible dans la majorité des cas. Il est possible de manquer des cours car ils ne sont pas obligatoires.

Quel bilan en tirez-vous ? 

Ce semestre à l’étranger a été pour moi une très bonne expérience car il m’a permis plein de choses, c’est-à-dire faire de bonnes rencontres et saisir cette opportunité de tester un séjour à l’étranger pour une durée pas non plus trop longue (je considère que cela permet une sorte d’étape intermédiaire avant de par exemple partir pour de plus longues durées). Il m’a aussi permis de voyager et de découvrir d’autres pays en plus de l’Allemagne, et ça ouvre davantage l’esprit, puis évidemment de progresser en anglais.

Pour toutes ces raisons, j’encourage tous ceux qui ont la possibilité de partir en ERASMUS. 

Mes projets personnels ont en même évolué avec ces 4 mois en Allemagne puisque j’ai pris la décision, après validation du BUT GEMA en 2024, de partir quasiment un an à l’étranger pour continuer de voyager, travailler, et se nourrir de nouvelles expériences et cultures.

 

 

 

 

 

 

Retour d'expérience d'Alexis Marcel en DUETI en Corée du Sud

Alexis Marcel est un étudiant de l'IUT actuellement en DUETI en Corée du Sud. Il nous partage son expérience enrichissante en tant qu'étudiant étranger en Corée du Sud.
D'après lui, il s'agit d'une belle opportunité qu'il conseille fortement aux autres étudiants.

Retrouvez son témoignage complet sur YouTube .

 

TÉMOIGNAGE De Jasmine BOUZID, ÉTUDIANTE GACO, EN DUETI EN ERASMUS À YEDITEPE UNIVERSITY, À ISTANBUL

                                                             

Pourquoi choisir la Turquie ?

J'ai opté pour la Turquie pour changer de décor et vivre quelque chose de nouveau ! L'idée de m'immerger dans une culture différente de la mienne m'a vraiment séduite. En plus, apprendre une troisième langue, le turc, est une opportunité que je ne voulais pas laisser passer. J'ai toujours été passionnée par ce pays, entre son histoire, sa cuisine, ses paysages et ses séries. Il y a tellement à explorer, entre les marchés animés, les sites historiques, ça me paraissait être une belle expérience !

Comment trouves-tu le campus ? Localisation, confort, dortoirs, cantine…

Le campus est vraiment immense, au point qu’il y ait des navettes pour s'y déplacer... Les premiers jours, c'est un peu déconcertant, mais on s'y habitue vite. On s’y sent comme dans les séries américaines… Trouver un coin de nature de ce côté d'Istanbul n'est pas évident, mais ils ont aménagé un espace vert avec des bancs, super agréable pour se détendre.

Yeditepe University se trouve du côté asiatique d'Istanbul, ce qui rend l'atmosphère un peu plus calme. On peut prendre un bus pour aller à Kadikoy, ça prend environ 40 minutes. Kadikoy, c'est le quartier animé du côté asiatique, toujours plein de monde (comme partout à Istanbul, en fait). Et le truc pratique, une fois à Kadikoy, c'est qu'on a plusieurs ferries pour traverser vers le côté européen.

Il y a deux grandes cantines, des snacks, et même un café, donc impossible de mourir de faim. Il y a même un coiffeur et une banque, même si on dit qu'il vaut mieux éviter le coiffeur...
Par contre, un truc qui peut surprendre, pas de wifi dans les bâtiments, ce qui est très regrettable.
La particularité de cette université, c'est qu'il y a une dizaine de chiens sur le campus, qu'ils nourrissent. De temps en temps, il arrive même qu'un chien assiste à nos cours !

J’habite dans les dortoirs où il y a spécialement six chambres réservées aux étudiants en Erasmus. On partage la chambre à deux, ce qui est rassurant. Les chambres ne sont pas toutes ultra modernes, il y a plusieurs ajustements à faire, surtout dans la cuisine et la salle d'étude, mais pour le prix, c'est le meilleur compromis qualité-prix. En plus, avec le trafic infernal à Istanbul, c'est super pratique d'être sur place. Néanmoins, il est important de ne pas s’attendre au grand luxe, il y a beaucoup de choses à revoir…

Comment se passent les cours ?

Le début du semestre a été un peu chaotique avec toutes sortes de problèmes pour choisir nos cours : des professeurs qui ne répondaient pas, des cours uniquement en turc, des cours annulés, et pas de réponse à nos questions (du côté de l’université d’accueil). Malgré tout, on a réussi à s'en sortir et à suivre nos cours comme prévu. Un bon point, c'est qu'on peut choisir jusqu'à 50% de nos cours dans un département différent du nôtre. Personnellement, je suis inscrite à des cours de business et de relations internationales ! On m'avait dit que les cours ici étaient plutôt simples, mais je ne suis pas tout à fait d'accord. Il faut quand même faire un minimum d'efforts et consulter les ressources que les professeurs fournissent.

Ce qui est vraiment chouette, c'est que nos profs sont tous des doctorants passionnés avec beaucoup d'expériences à l’international et ça se ressent dans leurs cours. C'est très agréable.

J’ai été étonnée de voir que malgré le fait que les cours se passent en anglais, beaucoup d'élèves ont du mal à s'exprimer dans cette langue. Ils sont sympathiques, mais la barrière de la langue est là à chaque fois qu'on discute. Le point positif c'est que ça nous motive encore plus à apprendre le turc pour pouvoir mieux interagir. Cela reste un défi à prendre en compte.

Comment se passe la vie étudiante / l'intégration ?

Le point fort de mon Erasmus, ce sont les rencontres internationales que j’ai pu faire. Comme les Turcs ont parfois du mal à communiquer en anglais, on se serre les coudes entre nous. J'ai rencontré plusieurs amies hollandaises, kazakhes, allemandes, italiennes... On explore Istanbul chaque week-end, et en semaine, on se retrouve dans des cafés. Istanbul regorge de cafés et de bars pour prendre de superbes photos et discuter. Il y a tellement de choses à faire, à voir, et à goûter qu'il n'y a pas de temps pour rester enfermée dans sa chambre. C'est un gros changement pour moi qui suis plutôt casanière !

J’ai la chance de pouvoir partager un retour très positif sur mon expérience en Erasmus. Je vis des moments supers enrichissants sur le plan culturel, autant avec les turcs qu’avec les autres étudiants Erasmus. La Turquie a un mode de vie tellement différent, on apprend constamment. On peut faire quelques erreurs au début, comme parler trop fort dans le bus (note pour plus tard : toujours chuchoter !), mais on s'adapte rapidement.

L'aspect social est très bien développé aussi. Il y a plein de groupes WhatsApp et plusieurs associations étudiantes rien que pour les Erasmus, donc rencontrer du monde est facile. Cependant, il y a parfois ce petit hic avec la barrière de la langue, surtout avec les étudiants turcs. Mais dans l'ensemble, c'est une expérience mémorable !

Ce que j’aime :

  • Les découverte culturelles et les rencontres
  • L’apprentissage d’une nouvelle langue (voir de plusieurs grâce aux autres étudiants)
  • Les week-end découvertes dans tous les différents quartiers d’Istanbul, voir dans d’autres villes de Turquie (week-end à Pamukkale, par exemple)
  • Le partage de connaissances sur nos pays respectifs, ainsi que sur nos pays d’origine
  • Le niveau de vie est souvent inférieur aux autres pays, ce qui nous permet de faire + d'activités : voyages, restaurants, accrobranche, hammam, concerts…

Ce que je regrette :

  • La barrière de la langue est bien plus prononcée que prévue
  • L’organisation catastrophique, mais c’est un point commun à plusieurs pays…
  • Les informations sur google ne sont pas mises à jour, les itinéraires parfois faux…
  • L’aspect social/environnemental : on est confronté parfois à des scènes attristantes d’enfants qui travaillent à 22 heures dans le froid…
  • Le trafic !!
  • Il y a peut-être plus d’arnaques que dans d’autres pays/villes ? 

 

 

 

TÉMOIGNAGE D’ANTOINE, ÉTUDIANT EN MESURES PHYSIQUES, EN DUETI À RAVENSBURG EN ALLEMAGNE

Mon année en DUETI est jusqu’à maintenant une très grande réussite et une expérience très riche en matière de rencontres, d’ouverture au monde et surtout d’adaptation.

Depuis mon arrivée tout s’est très bien déroulé, grâce à une semaine d’intégration qui nous a permis de se rencontrer entre ERASMUS, puis petit à petit de faire connaissance avec les étudiants allemands et de prendre nos marques sur le campus. Le cadre de vie est pour ma part vraiment génial, avec beaucoup d’espaces verts et des installations sportives à proximité de ma résidence. Les résidences universitaires sont toutes rassemblées sur un seul et même lieu. Ceci m’a vraiment permis d’être en contact avec tous les autres étudiants.

Je suis vraiment très satisfait de mon logement car j’habite avec pleins d’autres étudiants : allemand, indien, népalais, turc…. Pour moi c’est super-enrichissant car tous les jours je découvre des cultures, de nouvelles façons de penser... Je parle anglais ou allemand ce qui me pousse au-delà de ma zone de confort, mais c’est super enrichissant de se voir progresser en langue tous les jours. L’ambiance est vraiment top puisqu’on partage souvent des choses ensemble ; sports, soirées, films, repas, soirées jeux de société… il y a vraiment un côté « mini-famille ».

L’université nous a vraiment permis de nous sentir à l’aise avec tout d’abord une semaine d’intégration. Aussi, une fois par mois les relations internationales organisent une soirée « présentation d’un pays » ce qui permet de rencontrer du monde, découvrir un pays etc... Au mois de mai, il s’agit de notre tour les Français. Avec le sport universitaire, on peut aussi se retrouver entre étudiants et partager des moments super conviviaux.

Le bureau des étudiants a organisé 3 jours d’intégration à l’occasion de l’arrivée décalée des étudiants allemands (on est arrivé en septembre et en Allemagne les cours commençaient en octobre). Ce week-end était vraiment sympa.

Les cours sont vraiment intéressants mais le début a été assez compliqué. Premièrement, la barrière de la langue a été un frein, puis il a fallu s’adapter à ce nouvel environnement, aux nouvelles façons d’enseigner etc.… Mais quand j’ai commencé le 2ème semestre, c’était vraiment gratifiant car cela m’a permis de me rendre compte des progrès réalisés, de l’adaptation faite.

Ravensburg reste une ville assez petite comparée à St Etienne. Mais pour ma part c’est la taille parfaite. En effet, il y assez de place pour pouvoir sortir, faire du sport, visiter. Il y a le musée du jeu « Ravensburger ». C’est assez intéressant de voir cette marque de jeu de « l’intérieur ». En ce qui concerne les installations sportives, elles sont nombreuses et il y en a pour tous les goûts.  Pour ma part, j’ai trouvé un club de triathlon.

Un atout majeur de Ravensburg et je pense de l’Allemagne en général est la quantité d’espaces verts présents. J’habite à 5 minutes d’une forêt qui est assez immense. Pleins d’ateliers pour faire du sport sont dispersés dans la forêt, les aires de jeux pour les enfants sont omniprésentes, toute personne qui le souhaite peut utiliser les installations présentes pour faire des barbecues au milieu de la forêt. En résumé, je trouve cette population vraiment connectée à la nature.

Aussi, un gros atout de cette région est la proximité des montagnes et des grands espaces. Le massif de l’Allgäu en Allemagne puis du Tyrol en Autriche sont seulement à 1h30 de route environ, pour les endroits les plus proches. J’ai vraiment passé du bon temps en montagne que ce soit en hiver ou à l’automne dernier. Enfin, la présence du lac de Constance rend cette région vraiment attractive. Les étudiants allemands nous ont tous certifiés que vivre dans cette région l’été est quelque chose de génial car après les cours ils vont au lac, jouent sur la plage, se baignent...

Pour résumer, mon expérience ERASMUS restera gravée à jamais dans ma mémoire, tant d’un point de vue ouverture sur le monde et rencontres personnelles. J’ai eu beaucoup de chance de pouvoir partir. Tout simplement, cette année restera INCROYABLE et INOUBLIABLE.

INTERVIEW DE 2 ÉTUDIANTES EN GEII : Oulimata venant du Sénégal et Joelle du Congo

Pourquoi la France et particulièrement St Etienne ?

Oulimata : je souhaitais quitter mon pays et découvrir de nouveaux horizons. Après avoir cherché dans les différentes formations, celle de l’IUT m’intéressait ; en plus j’ai de la famille à Saint-Étienne. Ce qui me rassurait et me sécurisait. J’ai un peu hésité évidemment mais ma famille m’a encouragée.

Joelle : Je voulais venir étudier en France depuis longtemps ; j’ai également de la famille en France mais pas sur St Étienne. Le diplôme délivré est reconnu de partout. C’est important.

Comment s’est déroulée votre arrivée ?

Oulimata : je suis arrivée avec 2 semaines de retard et cela n’a pas été évident mais on m’a facilité les choses au service des relations internationales ; j’ai été accompagnée au niveau administratif, j’ai vu avec l’infirmière pour la sécurité sociale …. Au département, les enseignants m’ont très bien accueillie et ils me demandaient très souvent si j’avais des questions ainsi que mes camarades de classe.

 Joelle :de mon côté, je suis arrivée avec un retard d’un mois et demi ; j’ai débuté les cours le 18 octobre.  C’était difficile au début ; je voyais bien que les autres étudiants avaient vu des choses qui m’étaient totalement étrangères et j’étais un peu désespérée et perdue. Mais les professeurs ont été très gentils, très ouverts. Quand j’avais des questions, j’allais les voir … Pareil pour les étudiants, ils m’ont beaucoup aidée à m’intégrer. Le service RI a signalé mon arrivée aux étudiants internationaux et ils sont venus se présenter à moi jusqu’à la résidence du Crous. Ils m’ont rassurée quand j’avais des baisses de moral.

Avez-vous déjà des projets post IUT ?

Oulimata :  C’est en cours de réflexion. Mon objectif premier est de réussir ces deux ou trois années à l’IUT. J’aimerai bien intégrer une école d’ingénieur mais je dois me renseigner à quel moment je peux y rentrer dans mon cursus.    

Mon objectif premier est d’étudier en France mais ensuite c’est important pour moi de retourner dans mon pays avec mes nouvelles compétences. J’ai envie de rendre au Sénégal tout ce qu’il m’a apporté.

Joelle : Dans mon cas, j’ai également l’envie d’intégrer une école d’ingénieur et si je ne peux pas faire un doctorat alors trouver un autre cursus. Je pense que deux formations sont un plus aujourd’hui.

Qu’est ce qui a été le plus dur et le point positif de cette expérience ?

Oulimata: le plus dur, même si cela a été de courte durée, c’était le changement d’habitudes. Il faut du temps pour s'adapter à une nouvelle vie, à un nouveau climat (je suis très frileuse). Comme je l'ai dit, vu que j'ai de la famille à St Etienne, je ne me suis pas vraiment sentie seule. 

Joelle : le plus dur, c’est d’être sans sa famille, de se sentir seule face à la « vraie vie ». Sans ses parents pour nous « chouchouter », nous devons apprendre à nous débrouiller seules pour les démarches administratives, la vie au quotidien ….

Toutes les deux sont d’accord sur le fait qu’elles sont devenues plus autonomes, plus libres et plus matures. Toutes ces responsabilités font grandir.

Nous avons apprécié d’être bien accueillies et accompagnées par le service des relations internationales et le parrainage est une très bonne chose. Durant la journée internationale nous avons pu également partager nos expériences et parler de notre pays.